((Traduction automatisée par Reuters, veuillez consulter la clause de non-responsabilité https://bit.ly/rtrsauto)) par Dawn Chmielewski
Les actionnaires de Disney ont rejeté une proposition d'investisseur visant à retirer la participation de l'entreprise à l'indice boursier de la Human Rights Campaign, qui évalue les lieux de travail en matière d'égalité des lesbiennes, gays, bisexuels, transgenres et queer.
Disney fait partie des employeurs les plus en vue à revoir certaines de ses pratiques en matière de diversité et d'inclusion, alors que l'administration Trump s'attaque aux pratiques de diversité, d'équité et d'inclusion (, DEI) au sein du gouvernement fédéral et du secteur privé.
Walt Disney DIS.N fait partie des 765 entreprises ayant obtenu un score parfait dans son classement 2025, reconnaissant ses efforts pour protéger contre la discrimination sur le lieu de travail, pour fournir des avantages inclusifs et pour offrir des formations afin de parvenir à une culture inclusive.
La proposition des actionnaires affirme que l'implication de Disney dans des questions politiques aussi controversées a aliéné certains segments du public et a nui au cours de l'action de la société. Elle exhorte les investisseurs à soutenir la proposition, qui, selon elle, offre à Disney l'occasion de « revenir à la neutralité »
Disney a exhorté les investisseurs à rejeter la proposition, affirmant que son conseil d'administration assure déjà la surveillance des questions d'équité de la main-d'œuvre.
Seulement 1 % des actionnaires ont voté en faveur de cette mesure, selon le décompte préliminaire annoncé jeudi.
D'autres entreprises, dont le constructeur automobile Ford Motor F.N , le fabricant de motos Harley-Davidson
HOG.N et le distributeur de produits de rénovation Lowe's LOW.N , ont mis fin à leur participation au classement annuel des entreprises offrant un environnement de travail favorable aux personnes LGBTQ.
Un certain nombre d'entreprises américaines ont renoncé à la DEI () ces derniers mois, alors que l'administration Trump intensifiait les menaces à l'encontre des entreprises et des institutions qui s'engagent dans ces efforts.
Même Disney a modifié ses critères de rémunération des dirigeants, remplaçant l'objectif d'accroître la diversité et l'inclusion par un facteur appelé « stratégie de gestion des talents », qui évalue dans quelle mesure les dirigeants font progresser les valeurs globales de l'entreprise.
Par ailleurs, les investisseurs de Disney ont réintégré les dix membres de son conseil d'administration et ont maintenu PricewaterhouseCoopers en tant qu'expert-comptable indépendant de la société. Les investisseurs ont voté en faveur d'une résolution non contraignante, soutenant la rémunération des dirigeants.
Les actionnaires ont rejeté une proposition visant à publier un rapport révélant comment les investissements de son plan de retraite protègent les bénéficiaires du plan contre les investissements dans des entreprises à forte intensité de carbone.
Les investisseurs ont voté contre une proposition demandant à Disney de publier un rapport évaluant la manière dont elle évalue les risques liés à la discrimination des acheteurs ou des vendeurs de publicités en fonction de leurs opinions politiques ou religieuses.
Les investisseurs de Disney ont également rejeté une proposition appelant l'entreprise à adopter des politiques publicitaires politiquement neutres. La proposition contestait la participation de l'entreprise à l'ancienne Global Alliance for Responsible Media, qui avait été créée pour protéger les marques contre les contenus préjudiciables. La plateforme de médias sociaux X d'Elon Musk a par la suite poursuivi l'organisation à but non lucratif, qui affirmait que des entreprises avaient conspiré pour organiser un boycott massif.
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